mercredi 29 mars 2017

AAC16 - ROUND D'OBSERVATION


Merci à la cinquantaine d'Aixois qui, ce matin, dès la première heure, ont répondu à l'appel des réseaux sociaux, 




en réaction au diktat de la Mairie, qui a décidé la "mise en sécurité", sans préalable, des Platanes et Pins de :

Avenue Pierre-Brossolette (1)
Boulevard Carnot (21)
Cours des Arts et Métiers (9)
Cours Saint-Louis (9)
Bd Aristide-Briand (18)
Bd Pasteur (8)
Bd Jean-Jaurès (9)
Avenue Jean-Dalmas (7)
Place Anouar-El-Sadate (1)
Bd des Belges (1)
Avenue Victor-Hugo (4)
Place du Général-de-Gaulle (2)
École des Beaux-Arts (3)
École du Rocher-du-Dragon (2)
Tous marqués de l'infamie de la Marque Jaune, dont je croyais que nous avions été débarrassés par Blake et Mortimer.
Soit 95 Arbres en sursis !

Si, ce matin, M. Martin des Espaces Verts a donné sa parole que nous n'allions pas jouer au chat et à la souris d'ici à la fin de la semaine, il n'en demeure pas moins qu'il va rendre compte à ses chefs. Et en dernier ressort c'est Trumpette qui prendra la décision finale avec pour dilemme : la Sécurité à tout prix ou sa Réélection ?
Au sujet de la guéguerre engagée par la mairie, je rappelle l'adage : 
"Il ne sert à rien d'écoper les voies d'eau d'un cuirassé qui coule avec des boîtes de conserve !"
Enfin si Charlotte de Busschère, conseillère municipale, de la société civile d'oppositon, n'avait pas rappelé la proximité du Monument Sec et ses contraintes patrimoniales, notamment la question de savoir si Mme l'architecte des bâtiments de France avait été consultée, eh bien 8 platanes auraient été mutilés à mort avant leur mort définitive !
D'après ce qu'il ressort des "entretiens de trottoir" du Boulevard Pasteur du 29 mars 2017, statu quo avec extrême prudence et extrême vigilance.
Enfin dans les conversations de trottoir, à la question de savoir comment finissaient les arbres et/ou branches coupées… Tout simplement dans des meubles mais principalement dans les chaufferies-bois.
Et celles d'Encagnane et surtout l'Ogre de Gardanne sont extrêmement voraces…


(À suivre donc de très près)

Dominique Faillard

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire